3,2,1 c’est reparti ! (Larosa)
Larosa :
3, 2, 1 c’est reparti !
Ça y est, les élections passées, les licenciements peuvent reprendre. Plus besoin de faire bonne figure, on peut désormais revoir des entreprises mettre à la porte ses employés pour éponger les intérêts que les banques demandent et aussi pour contenter les actionnaires des fonds d’investissement.